et quand bien même, si nécessaire,
le séraphin t’est remis plié,
finement roulé,
verni de glaçance
par de plus vieilles queues,
les mesquines mollasses des lèvres du bengal.
Un tiède de ce calibre, se remarque
à cent pas, y compris sous un feuillage VHS, tactique.
C’est L’Oeil perçant du luxe.
comme à cette époque où l’on répétait « c’est fendard ».
Tandis qu’on continue, c’est vrai, de se casser un peu les reins.
Aujourd’hui, on s’enfonce, en plus, des col de fémur,
jusque dans les oreilles.
Et les plus suaves d’entre nous, qui préfèrent mourrir étouffés.
Ils avalent crus des berlingots de lessive,
aux promesses d’exploit
et d’algésie, presque symétriques.
Le séraphin s’étale de lui-même sur un grand lit,
que deux gradés repassent religieusement,
au nom de la reliance.
Il les ignore, lui, avec tact.
Nadine, Karen,
on se souviendra de toi en bien
et respectueusement
mais de cet Alexandre, comme d’un triste truiste. à saint tropez